sitouslesenfantsdumonde@gmail.com
Opération sacs de riz 2015
Du riz, encore du riz... et des nouilles !
Le vent du large, ça creuse...
Opération sacs de riz 2015
Du riz, encore du riz... et des nouilles !
L'année 2015 débute au Cambodge par une promenade en bateau...
Tout le monde sur le pont pour refermer l'album
***
La cabane de Dina
Dina est serveur dans un restaurant de la capitale. Lui et sa petite famille logent dans une cabane en bambou à l'Est de la ville sur un petit bout de terrain qui appartient à la famille de son épouse.
C'est une cabane du style "Hôtel des courants d'air...''
Pendant la saison des pluies, le vent et l'eau sont leurs ennemis, et les nuits d'orages sont effrayantes.
En arrière plan ne serait ce pas quelque échafaudage...
Des briques, du sable et du ciment, et voila que la cabane se transforme peu à peu en maison...
Prête pour la bénédiction
La maison c'est maintenant...
La cabane c'était avant...
Cette réalisation sera la seule de l'année compte tenu du budget dont nous disposons. Il nous faut penser aux soins d'urgence éventuels, à la nourriture, aux loyers pour deux familles et les cours d'anglais de notre filleule.
*******
Groupe scolaire Saint-Exupéry
de St Romain d’Ay en Ardèche (07)
Présentation du Cambodge aux élèves sur le globe terrestre
Divers objets en provenance du Cambodge
Quelques fruits du Cambodge
Dégustation de fruits de la passion
Les membres de l'association remercient du fond du coeur le Groupe scolaire Saint-Exupéry de Saint Romain d’Ay pour sa participation à notre action et pour l'intérêt porté au Cambodge au cours de cette belle réunion.
******
Journée porte ouverte du samedi 6 juin 2015
au siège sociale de l'association
La presse locale était présente
LOCALE EXPRESS
THORRENC
« Si tous les enfants du monde »
THORRENC
« Si tous les enfants du monde »
Marie Gaulier, présidente de l'association « SI TOUS LES ENFANTS DU MONDE » créée en 2003, était entourée ce week-end de sa famille et de quelques amis. Dans sa maison de Thorrenc, elle avait préparé des nems que l’on pouvait acheter sur place samedi et qu’on peut commander toute l’année. « Je retourne chaque année à PhnomPenh pour voir quels sont les besoins des plus pauvres, notamment les enfants. Je suis métisse. La France m’a beaucoup apporté et je veux rendre une partie de ce que j’ai pour aider les gens de mon autre pays. Notre association, d’une quinzaine de membres, vit de dons et de profits tirés de la vente de nems». De l’argent ensuite reversé à un orphelinat. Une cause qui lui tient à cœur, elle qui a connu l’orphelinat religieux en France.
